Je déteste les gens, tous aussi vains, creux, belliqueux et peureux.
Surtout peu joyeux, mais abrutis par leurs douces vies, à l'abri de toute cette fange de pensées destructrices, et de tous ces vices.
Toujours plus lassée par les relations humaines, tout à déjà été vécu, du vu et revu.
Nos liens n'ont rien d'exceptionnels. Tout est pareil.
Je t'aime tellement et toi probablement si peu, en comparaison, alors oublie toutes ces chansons.
Je pourrais être dévouée, tout te donner, lutter pour te faire rester.
Tu es la seule personne qui pourrait me sauver.
J'ai tant espéré, et tu me manques à chaque fois que ce "nous" n'existe pas.
Il n'y a rien d'aussi bien, il n'y a rien de plus beau, tu es ma perfection, entres toutes ces ruminations.
Encore envie de mourir, à croire que ça ne me quittera jamais, tout me dégoûte, je dérive, je ne veux pas vivre.
Tu détestes les gens, mais tu te détestes tout autant.
Plus j'écris, moins je raconte de trucs censés. J'aimerais vomir mon mal une fois pour toute, mais ça ne marche pas comme ça.